Partenaires
Université Sciences humaines et sociales - Lille 3
(Chef de file du projet)
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Créée en 1896, l’université de Lille a été subdivisée en 1968 en 3 campus, Lille 1 (sciences et techniques), Lille 2 (droit et santé) et Lille 3 (sciences humaines, arts et lettres) qui rassemblent près de 65 000 étudiants. Le site de Lille 3 compte près de 18 000 étudiants, plus de 800 enseignants pour des formations très diversifiées et des collaborations internationales avec plus de 120 universités dans le monde. L’archéologie, présente depuis sa création, s’y est considérablement diversifiée. Un « Learning Center » thématique d’égyptologie et d’archéologie, soutenu par le Conseil Régional doit y voir prochainement le jour. |
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Maison européenne des sciences de l’homme et de la société - MESHS
(Co-chef de file du projet)
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Créée en 2008, la Maison européenne des sciences de l’homme et de la société - Lille Nord de France (MESHS) est une unité mixte de service et de recherche (USR 3185) sous la tutelle du CNRS et des établissements d’enseignement supérieur des régions Nord - Pas-de-Calais et Picardie. Elle fait partie du Réseau national des maisons des sciences de l’homme. Par sa position géographique privilégié, elle favorise les échanges transfrontaliers et internationaux. Grâce à ses trente laboratoires associés, elle structure et valorise la recherche régionale en sciences humaines et sociales. |
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Canterbury Archaeological Trust (CAT)
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Créé en 1975, comptant un personnel de 55 personnes, le CAT, dans sa charte et les articles de l’association, affiche sa volonté de promouvoir une éducation publique dans le domaine de l’archéologie. Le Trust travaille à maintenir le plus haut niveau possible dans les savoirs archéologiques et s’engage activement dans tous les secteurs pour que la population et les citoyens du Kent, ainsi que ses visiteurs, puissent bénéficier de la meilleure qualité de vie et soient en mesure d’apprécier son patrimoine et en particulier son héritage historique commun. Le CAT a fouillé le bateau à Douvres en 1992. |
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Institut National de Recherches Archéologiques Préventives (INRAP)
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Créé en 2002 en application de la loi sur l’archéologie préventive (2001), l’INRAP compte plus de 2 000 salariés. L’institut assure, à l’échelle nationale, la détection et l’étude du patrimoine archéologique touché par les travaux d’aménagement du territoire. Il exploite et diffuse l’information auprès de la communauté scientifique et concourt à la diffusion culturelle et à la valorisation de l’archéologie auprès du public. Il collabore également à des programmes internationaux. Depuis le développement de l’archéologie préventive, l’INRAP a réalisé de très nombreuses opérations en Nord Pas-de-Calais qui ont renouvelé les connaissances sur l’histoire de cette région. |
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Canterbury Christ Church University (CCCU)
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Créée en 1962, la Canterbury Christ Church University compte environ 20 000 étudiants répartis dans plusieurs domaines. Les sciences de l’éducation y tiennent une place essentielle. L’archéologie y est enseignée, avec des collaborations dans le Kent, en particulier avec le CAT. L’université a des liens florissants avec des universités de différentes types à travers le monde et une longue tradition de partenariat dans les domaines de la recherche et du développement dans le cadre de l’Union européenne |
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Université de Gand
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Créée en 1817, avec 32 000 étudiants, l’université de Gand compte plus de 130 départements à cheval sur 11 facultés qui offrent un haut niveau de recherche qui s’appuie sur différents programmes éducatifs et toutes les disciplines scientifiques. Chaque année, l’université de Gand compte plus de 8500 diplômés de licence, master et de l’ordre de 430 doctorats. L’archéologie occupe une place importante à Gand, avec différentes collaborations avec des archéologues et des universités. |
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Conseil Général du Pas-de-Calais
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Le Centre départemental d’Archéologie a été créé en1986 au sein du Conseil Général du Pas-de-Calais, collectivité territoriale française. Avec 29 personnes, le centre œuvre pour la conservation et la mise en valeur du patrimoine archéologique départemental notamment par une forte activité de médiation auprès des scolaires et de la population. Depuis 2007, date à laquelle il a reçu la compétence en archéologie préventive, il s’investit dans la reconnaissance, l’étude et la valorisation du patrimoine archéologique découvert dans les travaux d’aménagement du territoire |
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Ville de Boulogne-sur-Mer
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Créé en 1825 et déménagé en 1988 dans l’ancien Château Comtal, classé monument historique, le château Musée de Boulogne sur Mer a le statut de musée de France. À ce titre, il doit conserver, restaurer, étudier et enrichir ses collections. Des collections d’antiques et d’archéologie locales y sont présentées, des expositions temporaires régulièrement organisées. Ces événements intègrent toujours des opérations de médiation visant à assurer l’égal accès de tous à la culture. Le service archéologique de la ville crée en 1990 réalise des fouilles programmées, en publie les résultats et organise des expositions dans un travail en étroite collaboration avec le musée. |
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